Los Angeles (Californie, USA)
Staples Center
Aftershow
Setlist
- 01. City Of Blinding Lights
- 02. Vertigo
- 03. Elevation
- 04. The Electric Co.
- 05. The Ocean
- 06. I Still Haven’t Found What I’m Looking For/In A Little While
- 07. Beautiful Day
- 08. Miracle Drug
- 09. Sometimes You Can’t Make It On Your Own
- 10. Love And Peace Or Else
- 11. Sunday Bloody Sunday
- 12. Bullet The Blue Sky
- 13. Miss Sarajevo
- 14. Pride (In The Name Of Love)
- 15. Where The Streets Have No Name
- 16. One
- 17. The First Time
- 18. Stuck In A Moment You Can’t Get Out Of
- 19. With or Without you
- 20. All Because Of You
- 21. Out Of Control
- 22. Fast Cars
- 23. Yahweh
- 24. 40
A propos
A noter la montée d’un poulailler du nom d’Exit pour jouer ‘Out of Control’ avec U2
Informations
Vertigo Tour - Leg 3 - Amérique du Nord
Première partie : Damian Marley
Staples Center
Située en centre ville (contrairement à nombre de salles aux Etats-Unis), cette salle est l'une des plus grandes du pays. Elle a coûté 375 millions de dollars et a été inaugrée par un concert de Bruce Springsteen en 1999. C’est la seule salle où évoluent deux équipes de la NBA (Lakers, Clippers) et une équipe de la NHL (Kings).
Date d'ouverture : 1999
Capacité pour les concerts : 20 000 places
Site web : http://www.staplescenter.com
Historique
Depuis 1987, U2 a joué 15 concerts à Los Angeles. Parmi eux, trois ont eu lieu au Staples Center lors du leg 3 de l'Elevation Tour, les 12, 13, et 19 novembre 2001.
Par ailleurs, U2 s'est produit à la Sports Arena de Los Angeles à 7 reprises (5 fois lors du Joshua Tree Tour et 2 fois lors du Zoo TV Tour).
Discussions
Un commentaire a été publié pour cet article.
La révolution en 2005 c’est justement que u2 joue plus rock que personne d ‘autres, avec plus de tubes que n’importe quel groupe, avec des titres de 1981 plus puisssants que n’importe quelle mouture d’aujourd’hui : la révolution se situe ailleurs : U2 est toujours au sommet après 25 ans et personne ne peut rien y faire !
La révolution n’a jamais l’air de tout chambouler ce n’est que plus tard que l’on s’en rend compte… Saut avec Neophobia !
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